This work focuses on the ambivalence of laughter. A young man dressed in black and carrrying an instrument case walks into a club. After a few drinks, he opens his case, takes out a revolver and shoots two customers. While the patronslaugh themselves silly, the band plays on. The laughter, like the music, is non-stop...

Le lire est le propre de l'homme. Mais, comme dirait Bergson, c'est une autre histoire. Cette fiction situe le rire au niveau de paradoxe: d'abord comme agentcommunicateur, puis comme sybole du dérisoire dans la communication. La vidéo est utillisée ici pour sa force objectivante, le film et les diapos pour leur pouvoir onirique, et les photosen noir et blanc comme archives. La surimpression de deux profondeurs de champ au plan final illustre la passé, au présent it au futur. Il s'agit d'une prise de parole nihiliste...